Nul souvenir n’apaisera mes tourments,
Tant que l’infini cortège des jours qui passent,
Se couvrira de la bannière des seigneurs ;

Chemine sur la route

Fantôme du drame et de l’absurde,
Tu verras sur ton chemin des Femmes comme toi,
Qui ne sont ni mère ni épouse
Elles sont devenues folles au son des bombes et des canons
Elles traînent leur misère sur la terre qui déjà les appelles.

Les autres ont  prit l’arme du mari___
Il n’en avait plus besoin….
Il s’est effondré en serrant contre lui l’unique enfant.

Elle n’avaient plus qu’a continuer la route,
Poussée par je ne sais qu’elle folie , quel mystère,
Fuyant la mort qui dansait autour d’elle ,
Cette danse étrange et captivante,
Qui dura jusqu'à la nuit.
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